Recommandations de la Haute Autorité de Santé (HAS) concernant lombalgie et chirurgie

Les recommandations : conséquence d’une demande de la Direction générale de la santé (DGS) devant le constat, en France, d’une hétérogénéité des pratiques, concernant le taux de recours à l’hospitalisation pour une intervention majeure sur le rachis (groupe homogène de malades 08C521) comme l’illustre la figure ci-deszsous (données issues des bases de l’Agence technique de …
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La tendinopathie du Jambier postérieur

Rappels bio-mécaniques Le jambier postérieur se situe en arrière de l’axe de rotation de l’articulation tibio-tarsienne et en dedans de celui de l’articulation sous astragalienne, il a donc une fonction de fléchisseur et d’inverseur du pied. Au cours du cycle de marche, le jambier postérieur stabilise la cheville durant la phase portante, avec une activité …
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Fiche pratique: le travail musculaire excentrique comme traitement des tendinopathies et des douleurs musculaires chroniques

Le travail musculaire excentrique se définit par l’association d’une contracture musculaire et de l’étirement de ce même complexe musculo-tendineux. Le travail musculaire excentrique peut être volontaire (ex : contraction frénatrice du quadriceps à la réception d’un saut pour éviter la chute) automatique (ex : contraction frénatrice du sus-épineux lors du mouvement de l’abaissement des bras) …
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Fiche pratique: Le conflit sous-acromial

Mis en évidence par NEER, le conflit entre les tendons de la coiffe des rotateurs et la voûte acromiale (acromion et ligament acromio-coracoïdien) se produit lors des mouvements d’élévation du bras. Ce conflit est responsable des tendinopathies de la coiffe des rotateurs. Trois stades lésionnels sont décrits : de l’œdème à la perforation en passant …
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La physiothérapie antalgique

Le froid est, avec la chaleur, le plus vieil agent physique connu pour son effet anti-inflammatoire et antalgique. Pour être efficace l’application de froid doit être suffisamment prolongée afin de provoquer un abaissement significatif de la température au niveau des tissus profonds. Le temps d’application ne doit pas, a contrario, être excessif au risque de provoquer une réaction inflammatoire réflexe superficielle, parfois source de douleur. Il dépend en fait de la localisation du site à traiter, soit par exemple 20 à 30′ pour le genou, moins longtemps pour les petites articulations comme le poignet et le coude. La vessie de glace est l’agent le plus utilisé. Il importe d’isoler la peau d’un linge humide pour éviter le risque de brûlure. Les bombes aérosols cryogéniques sont utiles sur le terrain. Les cryocuff, constitués d’un manchon et d’une glacière reliés par un tuyau, permettent un refroidissement modéré et prolongé d’une articulation avec une bonne tolérance.